• Auteur : Cyrielle-Gloris

    Résumé : Julie Wallon - 1 m 67 de bonnes humeur, 56 kilos d'énergie et 17 ans d'espièglerie - débarque au Japon avec une seule idée en tête : prendre un nouveau départ. Entre idées reçues et clichés en tout genres, elle va tracer son destin et trouver sa place.

    Mon avis : Une BD rafraîchissante et plutôt drôle. Malgré tout l'ensemble reste bourré de clichés telle que "la fille qui débarque dans un nouveau lycée et qui est un peu timide mais les gens trouvent très gentille" ou le très connu "la fille populaire qui est méchante avec la nouvelle-gentille qui est un peu en train de lui voler sa place"...


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    Et oui ! Le moment qui vous attendiez tous est enfin arrivé... MON PREMIER CONCOURS !!!
    J'ai décidé (après bon nombre d'hésitations...) que ce serai un concours de... poésie ♥         Le thème est simple (et complexe à la fois), c'est : le bonheur. Pour vous (pour toi qui es en train de lire cet article !) c'est quoi le bonheur ? C'est d'être entouré de gens qui nous aiment ? De faire ce qu'on veut ? D'être libre ? D'être amoureux ♥?♥ Bref. Je vous demande de me résumer dans un poème ce qu'est pour vous le BONHEUR... 

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    Rien de plus simple : tu écris dans les commentaires que tu veux participer et si tu as un blog tu fais un article dessus avec ton dessin et tu m'en donnes le lien (par message ou en commentaire sur cet article). Par contre, si tu n'as pas de blog, tu peux simplement me l'envoyer par MP.
    Je choisirai donc mes trois poèmes préférés et les publierai sur mon blog :)

     

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    19 commentaires
  •  Thomas Fowler était un homme de taille moyenne, approchant de la quarantaine. C’était un petit bourgeois, d’ascendance marchande. Depuis sa plus tendre enfance, sa vie était rythmée par deux passions, d’une part la médecine et de l’autre la chimie. Il était légèrement dégarni, avait des yeux creux de couleur verdâtre, et, coupant son visage en deux, un affreux nez retroussé. De plus, une barbe de plusieurs jours  achevait de rendre à ce pittoresque personnage une apparence des plus négligées. Il travaillait depuis plusieurs années à la découverte d’un remède qui viendrait à bout de terribles maladies qui faisaient rage dans cette Angleterre du XVIIIe siècle. Ce jour-là, il travaillait depuis l’aube comme à son habitude, secondé  par un jeune apprenti, un certain Doug dont le nom nous était inconnu.

    Mrs Fowler vint, comme chaque jour, leur apporter une petite collation. C’était une femme dotée d’une extrême gentillesse, d’une grande patience, ainsi que d’une fidélité à toute épreuve.  Elle avait un physique ordinaire, avec une belle peau blanche et de grands yeux noirs, tels l’ébène.

    Alors qu’elle entrait dans la pièce, Mr Fowler poussa un cri où se mêlaient la joie et le soulagement. Il tenait entre ses doigts une fiole qu’il brandit en l’air avec un sourire de victoire.  Thomas avait enfin trouvé un prototype, contenant un élément chimique nommé arsenic, qui allait être capable de guérir certains troubles.

    « Ma mie ! J’y suis enfin arrivé ! s’exclama t-il, regarde ce flacon, il contient 6 ans de mes recherches acharnées ! Veux tu que je t’explique ?

    Il n’attendit même pas sa réponse, et se lança dans un interminable exposé :

    -Cette solution contient de l’arsenic blanc de formule As₃O₃ qui se trouve en très faible dose, ainsi ce liquide agit comme médicament contre toutes sortes de maux. L’arsenic est alors dit organique car il est chimiquement lié au carbone ou à l'hydrogène, c’est aussi un ultra oligo-élément, classe de nutriments,éléments minéraux purs nécessaires à la vie d'un organisme, ici à l’être humain, mais en quantités très faibles.

    Sa femme le regarda d’un air attendri, bien qu’elle n’ait compris un traître mot de son discours.

    Fier de sa découverte, il se présenta, le lendemain, à l’académie des sciences vêtu de son plus bel habit, un vieux costume ayant appartenu à feu son père et que sa femme avait raccommodé. Le conseil accueillit avec un peu de réticence cet énergumène. Pourtant, il leur fallut bien avouer que la découverte présentée allait révolutionner la médecine.

    Le succès ne se fit pas attendre, Mr Fowler s’enrichit rapidement. Il déménagea, achetant une belle demeure dans le comté du Yorkshire. Il y aménagea  son laboratoire dans une grande pièce du sous-sol et y installa toute sorte de nouveaux instruments. Doug continua à le seconder, plus passionné que jamais par les futures découvertes que son maître prévoyait de faire. 

    Son ascension sociale lui ouvrit les portes de nombreux salons mondains. Il rencontra de nombreuses personnalités, toutes aux situations les plus diverses. Il fréquenta un temps une jeune duchesse, veuve depuis peu, partagea  la table d’un vieux lord, fut invité à participer à de nombreuses chasses, organisées par un homme de la haute noblesse.  Il en vint à délaisser son laboratoire, laissant le plus souvent  Doug seul. Sa femme le voyait de moins en moins. En effet, il partait tôt le matin, et rentrait tard après le souper.

     

    Par une après midi de mai, installé dans le jardin attenant à la grande maison, Mrs Fowler et quelques amies, venues prendre le thé, discutaient avec enjouement : 

    -Avez –vous vu la tenue avec laquelle s’est affichée Miss Landson ? J’en ai été outrée ! lança une grosse  vieille aux joues rouges de fard.

    -Mon dieu, oui ! Les jeunes gens n’ont plus aucune tenue de nos jours ! répliqua une mère de famille.

    Mrs Fowler prit un air indulgent, et essaya de calmer ses compagnes :

    -Vous êtes bien dures avec cette jeune femme. Après tout, c’est peut-être nous qui ne comprenons rien à la mode.

    Les invités la regardèrent, surprises. La plus âgée poussa alors un ricanement :

    -Voyez-vous ça ! Vous parlez un peu vite ma chère Lisa !

    Sa voisine lui donna un léger coup de coude, l’implorant de se taire. Mais Mrs Fowler, point stupide, voulut savoir le fond de cette remarque.

    -C’est que très chère, ce n’est guère joyeux.

    -Qu’est ce que cela signifie ? S’impatienta la maîtresse de maison.

    -Et bien, cette Miss Landson n’est rien d’autre que la maîtresse de votre mari, chère amie.

    Mrs Fowler pâlit, ses mains se mirent à trembler, puis les larmes aux yeux,  elle s’enfuit vers la maison. Telle une furie, elle se dirigea vers le laboratoire. La pièce était sombre et vide. Tous les instruments trainaient sur une grande table. Au fond une multitude de fioles, béchers, flacons se côtoyaient. Prise de rage, elle renversa tout, et le sol se recouvrit bientôt de milliers d’éclats de verre.

    Ce tapage attira Doug qui s’était endormi dans une chambre voisine. Il découvrit Mrs Fowler dans un désespoir profond, pleurant, assise au milieu d’un désordre monstre. Il fut pris d’une soudaine pitié envers cette femme dont il admirait tant la grande maîtrise de soi. Elle avait toujours été si inflexible, si maîtresse d’elle-même, que la voir maintenant dans un tel état lui lacera le cœur. Le jeune homme s’approcha alors de Lisa, se penchant vers ce corps si menu. Il la prit contre lui, délicatement, entourant de ses bras les frêles épaules, qu’il avait presque peur de briser tant elles semblaient fragiles. Une sensation agréable envahit Mrs Fowler, pour la première fois de sa vie, elle se sentait soutenue. Dans les bras de cet homme, pour lequel elle n’avait jamais manifesté le moindre intérêt, elle eut l’impression d’exister, de renaître.

                Plus tard, dans la soirée,  Mrs Fowler et Doug avaient entrepris de remettre de l’ordre dans le laboratoire. Lisa s’occupait avec minutie de rassembler le peu de fioles ayant survécu à son carnage. Elle en prit soudain une et regarda le liquide qui y baignait avec colère :

    -C’est par la faute de ce remède miracle, s’écria-t-elle  avec mépris, que tous mes malheurs ont commencé !!

    -Ne vous méprenez pas Madame, lui répondit-il, ce remède n’est pas aussi miraculeux que l’on pourrait le croire.

    Elle le regarda alors avec un grand étonnement :

    -Voyez vous, reprit-il, j’ai découvert depuis peu que la solution de Mr Fowler peut être nocive, voir mortelle. En effet, l’homme a des besoins en arsenic de 10 à 20 µg par jours, qui sont largement couverts par l’alimentation. Or l’arsenic minéral est toxique et provoque des effets secondaires tels des vomissements, des douleurs œsophagiennes et abdominales et des diarrhées sanguinolentes. Et l’arsenic, quand il est pur, provoque une mort instantanée .»

     

                Quelques jours plus tard, Mrs Fowler ne laissant rien paraître de ce qu’elle avait enduré, servit le petit-déjeuner à son cher époux. Il était installé dans la grande salle à manger et lisait son journal. Comme à son habitude, il se plaignit de la cuisson de ses œufs brouillés. Avec patience, Lisa se chargea d’en préparer de nouveau. A huit heures trente, Mr Fowler quitta son domicile pour se rendre à un important rendez-vous.

                Miss Landson l’attendait dans une voiture des plus discrètes au coin d’une petite ruelle. Il monta à ses côtés et fit signe au cocher de partir.

    -Comme tu m’as manqué, sussura t-il à l’oreille de la jeune femme.

    Elle lui répondit d’un sourire, laissant entrevoir ses belles dents blanches.

    Quelques minutes passèrent où ils s’étreignirent follement dans le petit habitacle. Puis ils montèrent dans la chambre d’un petit hôtel particulier.

                En fin d’après midi ils se quittèrent, elle pour une soirée avec des amies, lui pour une partie de whist avec Lord Conroy et Sir Smith, de vieilles connaissances. Comme à son habitude, il perdit, ce qui pourtant n’altéra en rien sa bonne humeur. Il rentra chez lui, le cerveau brouillé par les quelques verres de whisky qu’il s’était offert. Sa femme l’attendait sagement dans la salle à manger. La table était mise, un rôti fumant placé au centre l’attendait.

    -Alors, ta journée ma chérie ?

    -Très bonne, lui répondit-elle, et la tienne ?

    -Ennuyante, comme toujours !

    Il s’assit et se mit à se découper une part. Il mangea avec plaisir, puis entreprit de servir le vin.

    -En veux-tu ?

    Lisa sourit et accepta un petit fond de verre.

     

    Lord Conroy, à onze heures tapantes, décida de se rendre chez son ami. Un scientifique qu’il appréciait beaucoup. Il habitait à la sortie de la ville, dans une jolie demeure qu’il avait pu s’offrir grâce à une de ses découvertes. Le vieil homme tenait à rapporter le chapeau, que son ami avait oublié la veille chez lui, et par la même occasion de se faire inviter à déjeuner.

                Il sonna, mais personne ne vint.

    « Bah, ils ne doivent pas entendre !

    La porte étant ouverte, il osa un regard à l’intérieur. Le corridor était désert. Il entra prudemment.

    « Je vais leur faire une surprise, pensa-t-il.

    Dans la salle à manger, il vit son ami, de dos, à table. Il s’approcha à pas de loup, et le prit par les épaules.

    -Alors mon cher Thomas, on n’attend plus son vieil ami pour partager le repas que ta femme prépare ?!

     

    Aucune réponse, il fit le tour de la grande table de chêne, pour voir le visage familier. Or, en découvrant une figure bleue, sans vie, il ne put retenir un cri. Il s’approcha d’une fenêtre, l’ouvrit, et cria pour demander de l’aide. Mais, point d’âme qui vive dans cette campagne déserte. Seuls deux êtres, se tenant par la main, s’éloignaient dans la lande. Une femme et un homme, « deux jeunes tourtereaux, encore si innocents, pensa t-il ». La femme portait une grosse valise où (cela il ne pouvait le savoir) vêtements et objets de toilette côtoyaient un petit flacon au liquide bleuâtre.


    4 commentaires
    • Niveau
       Très facile
    • Préparation
       10 min
    • Cuisson
       40 min
    • Prix
       Bon marché

     

     

     

    Ingrédients pour personnes

    • 150 g de farine 
    • 150 g de beurre demi-sel
    • 150 g de sucre en poudre
    • 3 oeufs 
    • 1/2 sachet de levure chimique

    Etapes de préparation

    1) Préchauffez votre four à 180 °C (th. 6).
    2) Dans une jatte, cassez les oeufs et fouettez-les avec le sucre. Faites mousser le mélange puis versez la farine en pluie, ajoutez la levure et mélangez bien la pâte.
    3) Faites fondre doucement le beurre coupé en parcelles. Incorporez-le à la préparation et lissez bien la pâte.
    4) Versez la pâte dans un moule à cake antiadhésif. Enfournez le quatre quarts pour 40 min. Laissez-le refroidir dans son moule.
    5) Au moment de servir, démoulez le gâteau sur un plat à cake et servez-le en tranches.

     


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    • Le matériel

      Pour réaliser ce tuto, vous avez besoin :
      - d'une paire d' aiguilles a tricoter
      - de 2 ou 3 pelotes de laine
      - d'une aiguille à coudre la laine
      - de la patience et/ou des films et séries !


      Les étapes


      1. Pour commencer, montez 14 mailles et continuez en côtes 1/1 pendant environ 60 cm. A la fin, votre première bande est prête !

      2



      2. Répétez la même opération une deuxième et une troisième fois, il faut que vous obteniez trois bandes de la même taille (plus ou moins).

      3



      3. Placez vos trois bandes côte à côte et commencez à les tresser ensemble.

      4



      4. Cousez les deux extrémités pour former un cercle.

      5



      Au final


      Et voilà ! Un bandeau douillet et trendy, parfait pour celles qui n'aiment pas les bonnets (celles qui portent des chignons comprendront).










       

       
       

     

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